Non, je ne veux pas vous parler du métro, mais bel et bien du dernier album de
Mes Aïeux, même si le titre en est directement inspiré.
Je l'ai acheté cette semaine et, croyez-moi, je ne saurais m'en passer maintenant. L'album se laisse écouter. Et je dirais même plus: On ne peut plus s'arrêter de l'écouter et on ne s'en lasse jamais. Tout en restant fidèle à lui-même, Mes Aïeux rappelle par moments Beau Dommage dans certains de ses arrangements, mais qui ne sont pas pour autant copiés au défunt groupe. De plus, Mes Aïeux sait toujours aussi bien traiter de certains malaises de notre société ou encore même, dénoncer certains comportements, et ce, tout en sachant marier les mélodies parfaites avec leurs textes. Il est également un bel éloge à notre grande métropole.
Enfin, ce dernier opus est autant un délice pour les oreilles que pour les yeux, puisque la pochette même est un petit bijou de design en soi. En effet, le groupe a fait appel à l'un de ses idoles, soit
Michel Rabagliati lui-même.