lundi 18 août 2008

Où l'expression Carpe Diem prend tout son sens...

Je viens de passer la plus belle fin de semaine que j'ai passé depuis longtemps. En effet, tout cela a commencé vendredi dernier avec une visite à St-Jean-sur-Richelieu, au Labyrinthe du Dragon. Nous avons découvert une autre belle façon de faire une balade en pleine nature et ainsi faire un peu travailler notre imaginaire, et ce, en compagnie de notre belle visite Made in Belgique. Par contre, nous nous attendions pas à ce que le labyrinthe était aussi long à parcourir. Nous sommes donc revenus à Montréal, les pieds en feu, mais ça aura valu la peine. Ensuite, pour rester dans le concept du maïs, nous nous faisons un souper au blé d'inde pour passer par la suite à une soirée karaoké. 

Samedi dernier, j'ai passé une journée très romantique et de rêve seule avec Patrick. Nous sommes partis en Vespa pour nous rendre jusqu'à Chambly. Après un petit lunch avalé rapidement, nous nous sommes attardés, le temps d'une petite pause, dans l'herbe sur le terrain du Fort Chambly. Les quatre éléments y étaient. Le feu du soleil, le vent faisant valser la rivière Richelieu et la terre qui portait chacun de nos pas. Ça fait du bien de se rappeller que notre couple est toujours aussi solide et se retrouver tous les deux. Le soir, nous terminons le tout autour d'un énorme plateau de nachos maison de ma bonne amie St3ff4ny. Le repas a été bien arrosé, sans abus, de bière et de vin. À la bonne franquette quoi, mais ô combien idéal!

Ce weekend parfait s'est terminé hier en prenant la route direction Drummondville pour aller visiter le Village québécois d'antan. Encore plein de choses à découvrir et apprendre et le soleil, brillant de ses mille feux, était de notre côté toute la journée. La journée s'est terminée avec un souper au restaurant Plus de Victoriaville. Ce n'était que le début d'un moment mémorable, car nous sommes allés ensuite dans un grand parc pour assister à un spectacle très amusant de jonglerie et de crachage de feu. Un gros merci à Benoît et Cédric pour cette générosité, mais le tout n'aurait jamais été aussi complet sans avoir été au belvédère pour admirer les lumières de la petite municipalité, ainsi que les étoiles qui brillaient dans le ciel. Merci encore pour les ballons! Merci à Stéphanie pour les fous rires, merci à Maya et Anny pour les efforts dont chacune de vous ont pu faire preuve. Rien ne peut me rendre plus heureuse que de voir mes amis les plus chers s'unir et être en harmonie. Pour la première fois depuis longtemps (je ne me souviens pas quand), je ne me sentais pas déchirée entre vous. 

Enfin, un gros, gros, gros merci à tous ceux qui auront été près de moi en cette fin de semaine si parfaite et j'espère qu'il y en aura beaucoup d'autres. 

Je vous laisse en vous transmettant ma devise: Carpe Diem!

lundi 11 août 2008

Poussière d'ange

Le texte qui suit est très différent de ce que j'écris ici d'habitude en s'éloignant quelque peu du mandat de ce blogue, mais je tenais à partager un moment important de ma vie auquel je viens tout juste de faire face il y a quelques minutes.

En effet, comme plusieurs le savent déjà, j'ai perdu mon enfant il y a quelques mois et comme vous vous en doutez, ça m'a fait un dur coup. Depuis, je suis en congé jusqu'au 2 septembre, histoire de m'aider à faire mon deuil et ainsi, de penser un peu à moi. Mais depuis quelques temps, je pense sans cesse à ce dont il aurait pu avoir l'air. Je pensais constamment à mon p'tit Tristan, sans avoir pu le voir ou même ne serait-ce que le prendre dans mes bras quelques instants et le bercer. Je ne regrette cependant pas la décision que j'ai prise, car je sais pertinemment que c'était la meilleure chose à faire pour lui, comme il aurait été trop fragile pour vivre en ce monde.

Cependant, j'ai redemandé les photos prises par l'hôpital il y a quelques jours et je les ai justement reçu ce matin. J'ai hésité encore avant d'ouvrir l'enveloppe en la tenant dans mes mains pendant un bon moment, la retournant de tous les côtés, comme si une partie de moi ne voulait pas, bien que je me disais que cela me ferait du bien malgré tout. Il y a environ 30 minutes de ça, je me décide enfin à l'ouvrir, comme j'ai aussi laissé l'enveloppe près de moi, ça me chicotait trop. J'ouvre et je l'aperçois. Finalement, ce n'est pas si pire que ça et même que je m'attendais à un plus grand choc que ça. J'étais vraiment prête finalement. Il est un peu amoché certes, avec un bleu sur le côté de sa petite tête et son «bec-de-lièvre». Ça l'air pire que c'est en réalité, surtout que ses minuscules paupières étaient encore solidement soudées à ce stade. Mais je remarque aussi qu'il aurait probablement eu le nez de son papa. Enfin, présentement, je me sens déjà mieux et j'ai au moins quelque chose de tangible pour le regarder autant que j'en aurai envie. Et malgré tout ces petites malformations, il est beau, surtout bien emmitouflé dans son petit châle blanc, il a l'air d'un petit ange paisible. Maintenant, il aide grand-maman à veiller sur papa et maman de là-haut!

Je te dédie alors cette chanson, pour toi, Tristan, qui sera toujours ma petite poussière d'ange et tu demeureras éternel dans mon coeur....

mardi 5 août 2008

Quelques vidéos «kitsch»

Comme la tendance porte énormément sur les années 80 ces temps-ci et que moi-même, j'écoute beaucoup de musique de cette décennie, j'ai pensé vous mettre ici quelques vidéos, assez drôle et kitsch, de cette bonne époque. 








Je me souviens que cette chanson avait été jadis popularisée par Martine St-Clair, mais je crois que c'est l'auteur de la chanson lui-même qui la chante ici.



Bon, celle-ci est peut-être un peu moins quétaine, mais la chanson est tellement vibrante et la voix de Leann Rimes est trop sublime, donc il fallait que je la mette! ;)



Celle-ci donne vraiment le goût d'aller danser!!!! :P

dimanche 6 juillet 2008

Rapido l'estate a Montreal


Si je faisais le palmarès des meilleures journées de toute ma vie, celle que je viens de passer figurerait sûrement au moins au Top 5. En effet, tous les ingrédients de la recette d'une journée parfaite étaient là. Le soleil, le vent, le fleuve à perdre de vue devant mes yeux et ma ville en toile de fond. Ah oui! Tout ça sans oublier tout ce beau monde que j'ai vu en cette journée au parc des Îles dans le cadre du piknic électronique

Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi bien. Avec de la bonne musique conçue par la crème de l'underground des DJ montréalais, des beats qui n'en finissaient plus pour nous faire danser ou tout simplement chiller entre amis ou avec l'être aimé. Tout pour se sentir heureux, quoi! 

Afin de bien couronner cette journée idéale, quoi de mieux qu'un bon burger et une bonne bière dégustés à l'Auberge du Dragon Rouge

Maintenant, je vous écris, mais comme on dit, une journée en plein air, ça fait du bien, mais les endorphines commencent à me rentrer dedans un peu plus sérieusement. Alors, je vais aller me reposer et vous reviens avec d'autres récits tout aussi palpitants. ;)


vendredi 20 juin 2008

Lâcher prise

Je viens de tomber sur quelques articles qui m'ont beaucoup fait réfléchir. En fait, j'y pensais depuis quelques jours et même, en me basant sur mon expérience personnelle, je réalise qu'on a tendance à beaucoup trop se soucier de l'opinion d'autrui. Qu'on le fasse de façon consciente ou inconsciemment, nos actions sont souvent axées sur le «paraître». Je m'entends très souvent dire: «De quoi ai-je l'air?» ou encore «De quoi je vais avoir l'air si j'agis de telle ou telle façon?» WHO CARES? Pourquoi toutes ces questions existentielles? Serais-je justement par peur que j'agis ainsi? Par peur de déplaire... Pourquoi toujours cette peur qui nous anime? La peur d'être jugé, d'être abandonné? de manquer d'argent? Je vois déjà des petits sourires sur vos visages en lisant ceci, surtout ceux qui me connaissent. Oui, je suis comme ça et je ne m'en cache pas, mais je m'efforce de changer ça. Je crois que le simple fait d'être conscient de ce que nous sommes réellement est déjà de s'accepter soi-même et ça, c'est un bon pas dans la bonne voie selon moi. Pour revenir aux articles que je lisait portant sur le «lâcher prise». Cette «discipline» consiste à accepter ce qui est et ce qu'on ne peut pas changer dans le moment présent en oubliant le passé, que ce soit les événements de la vie ou même les personnes. Il y a des choses qui sont hors de notre contrôle et qui ne changeront jamais et ce, même si la vie change, évolue. Il faut apprendre à vivre avec ça, accepter le changement. C'est avec le temps qu'on y arrive selon moi. Le temps arrange bien des choses. C'est lui qui nous permet de travailler sur nous-mêmes et d'apprendre à mieux connaître ceux qui nous entourent pour ainsi mieux coexister avec eux. Le temps nous donne également l'expérience de la vie et ainsi, nous apprenons à agir en toute connaissance de cause sans avoir peur d'être jugé. Je veux dire qu'on apprend à «lâcher prise» d'après les expériences que nous vivons. En fait, le «lâcher prise» est un art qui s'apprend et se cultive. Par exemple, en tant que personne éternellement insécure, j'essaie de me dire que si je m'empêche de faire quelque chose que j'aime par peur de déplaire ou autre question posée plus haut, je serai malheureuse toute ma vie. Alors, mieux vaut penser à soi d'abord pour ainsi augmenter l'estime qu'on a de nous-mêmes et accepter la vie telle qu'elle se présente à nous. Car refuser de lâcher prise, c'est refuser la vie telle qu'elle est, et c'est ainsi de cette façon que nous perdons toute confiance. Comme mentionné plus haut, je répète qu'il faut capter le moment présent, sans regarder en arrière, ni se soucier des conséquences à venir. Ça vous paraît peut-être un peu je-m'en-foutisme comme philosophie, mais comment voulez-vous être heureux si vous êtes toujours entrain de vous poser des questions existentielles? Notre cerveau est un muscle et il faut le faire travailler pour les bonnes choses, mais s'il pense trop, il finira par devenir fou...

Enfin, peut-être est-ce moi qui devient folle en pensant un peu trop avec ces délires philosophiques, mais je crois au moins qu'en adoptant cette philosophie et de ne jamais oublier l'expression Carpe Diem et de l'appliquer au quotidien, c'est ainsi que se trouve le bonheur et nous apprenons par le fait même à faire confiance à la vie et en nous-mêmes. Il ne se trouve pas au bout du chemin, mais bien dans chaques petits gestes ou paroles qu'on fait ou dit chaque jour et il est le résultat de notre attitude à l'égard des autres. 

jeudi 19 juin 2008

Où est allé le romantisme?


Quelle femme, proprement dit, n'a jamais rêvé se faire offrir des fleurs sans que ce soit nécessairement son anniversaire ou autre occasion spéciale, de recevoir une lettre d'amour ou encore se laisser sussurer des mots tendres à l'oreille lors d'une promenade au clair de lune? Ce genre de choses n'arrive pas que dans les contes de fées ou au cinéma, contrairement à ce que certaines personnes pourraient croire. Je me considère même comme l'une des privilégiées qui l'a déjà vécu, mais pourquoi cela ne ferait que durer un certain temps et ensuite, cesser tout ce genre d'attention aussitôt qu'on tient l'autre dans ses filets? 

Il faut, soit être complètement désabusée ou désillusionnée pour ne pas apprécier recevoir un bouquet de fleurs ou un simple petit mot prouvant à l'autre qu'on tient à lui ou tout simplement, qu'il ou elle nous manque. Notre monde serait-il entrain de tuer le romantisme? Nous vivons tellement, et ce de plus en plus, dans un monde de performance dans lequel la notion d'humanité n'a pratiquement plus aucune importance. Tout va de plus en plus vite. On nous demande de produire, produire et encore produire pour rentrer chez nous complètement épuisé et vidé de toute énergie qui nous restait, celle qui devait servir à prendre soin de l'être aimé. Bien que nous ne voulions pas trop s'embarquer dans une routine, nous le faisons bien malgré nous comme nous voulons toujours performer et toujours être le meilleur. Mais pendant que nous nous acharnons à vouloir devenir le ou la meilleur(e) pour des gens que nous ne connaissons pas ou avec lesquels nous n'entretenons aucun lien affectif, finirait-on par prendre l'autre pour acquis? Dans cette situation, il faut faire un choix. La carrière ou la vie de couple? Ceux qui arrivent à concilier les deux, je leur lève mon chapeau. Ne peut-on tout simplement pas seulement travailler et faire ce qu'on aime sans vouloir pour autant performer pour gravir les échelons pendant que le conjoint nous attend avec un magnifique souper aux chandelles que nous ne prendrons même pas la peine de profiter finalement? Serions-nous plus heureux si nous nous contentions de bien gagner notre vie uniquement pour pouvoir ainsi mordre dedans à pleines dents? Cela donnerait sans doute une société plus heureuse et en meilleure santé mentale, selon moi... 

P.S. Je ne vise pas personne en particulier ici, mais je parle plutôt en général, d'après les différentes situations dont je suis témoin. Je ne m'inclus pas là-dedans. 

vendredi 13 juin 2008

Une «guêpe» n'est pas seulement un insecte nuisible

Encore une fois, je viens de terminer 3 jours intensifs de mini voyages en Vespa. En effet, j'ai profité de la superbe température que nous offrait Dame Nature pour aller me faire voir un peu en périphérie de la ville. Je n'ai pas encore de photo à vous montrer, bien que j'aurais beaucoup aimé, mais ce sera pour une prochaine fois, mais j'en garde un bon souvenir bien gravé dans ma mémoire.

On peut sortir la fille de St-Hubert, mais...

Mercredi dernier, la journée a d'abord très bien débuté avec un délicieux latte noisettes préparé par ma très bonne amie Mab. Comme je devais passer à son travail pour lui remettre un truc important, j'en ai donc profité pour goûter à quelque chose de nouveau. Après une petite heure de repos en sirotant mon café tranquillos, je reprends la route, direction je-ne-sais-où-mais-je-vais-là-où-la-route-me-mènera, je me retrouve assez vite sur le pont Victoria. Ce n'est pas nécessairement par là que je voulais passer, mais bon, maintenant que j'y suis, on va faire avec. Une fois le pont traversé, la 112. Là, je me reconnais un peu plus. Je décide donc de continuer jusqu'à St-Hubert, qui est d'ailleurs ma ville natale, le berceau de mon enfance. 
Ça m'a paru un peu étrange de poser mes 2 roues en sol hubertain, même si j'y étais déjà retournée quelques fois, mais rarement en «touriste». Je suis maintenant comme une touriste dans mon propre patelin. Et pourtant, plus je m'y promène et plus c'est pareil. Je me sens encore chez moi. Je ressens un léger pincement au coeur de revoir les anciennes maisons où j'ai grandi. Après avoir fait le tour de mes anciens quartiers, je retourne en direction de Montréal où je m'y rends en environ 1h. Ouf! Bonne petite balade, mais j'en aurai réussi une de plus et je suis très fière de l'avoir fait. 

Vers 14 heures, après un dîner avalé rapidement, je prends la décision d'aller rendre une petite visite surprise à mon amie Stéphanie. Quelques heures et deux bières plus tard, je me dirige finalement vers la maison avec Patrick qui était venu me rejoindre. Après s'être rafraîchis et reposé un peu, nous repartons pour aller partager un bon repas au resto (voir mon entrée précédente) avec deux bonnes amies. Ensuite, alors que je repars au cinéma avec Anne et Marie-Ève, Patrick repart de son côté avec la Vespa. Une belle petite soirée de filles qui s'est fort bien terminée et qui devrait se répéter plus souvent. Le tout s'est terminé vers minuit, je rentre chez moi et je retrouve l'amour de ma vie, dans mon lit, et je passe une très bonne nuit de sommeil.

Le chemin du Roy

Jeudi matin - Je me lève vers 10 heures et, tout en buvant encore mon café et en mordant dans mes rôties à la confiture de framboises, je me demande quoi faire en cette deuxième journée ensoleillée. Je fais mes plans: J'ai toujours ma Vespa dans la cour et la route m'appelle toujours, apparemment. Je songe au Chemin du Roy que je n'ai encore jamais expérimenté. Je décide donc de m'y aventurer. Je pars alors immédiatement après le dîner. En passant par Pointe-Aux-Trembles, je longe la rue Notre-Dame jusqu'au pont Le Gardeur. Je suis maintenant à Repentigny et de surcroît, sur ce qu'on appelle aussi Le Chemin du Roy (ou la route 138). Je continue toujours en ligne droite et je roule, je roule, pendant un bout de temps. Tout à coup, j'aperçois la pancarte pour L'Assomption. Tiens! Pourquoi ne pas aller découvrir cette charmante petite ville. Je tourne donc sur la 343 Nord et j'arrive à L'Assomption 4 kilomètres plus tard. Je rate la «sortie» pour le centre-ville et je me retrouve sur le côté beaucoup plus campagne de la ville. Je fais même presque tout le tour de la 343 avant de retourner de bord pour me dire que finalement, il n'y a plus grand chose à voir. Pas grave! Que je me dis. Je suis là pour découvrir après tout et je ne suis aucunement pressée. Je finis enfin par retourner d'où je suis arrivée et je trouve finalement la rue où je dois tourner pour aller dans le centre-ville. Je m'y retrouve enfin et en visitant, je m'y plais rapidement. Pas pour y rester, évidemment, mais les habitants de L'Assomption peuvent vraiment être fiers de leur ville. Vous en avez une très accueillante et très bien entretenue. 

Après cette petite virée, je suis enfin retournée en ville. J'ai terminé cette journée dans un 5 à 7, rue Ste-Catherine avec Patrick et quelques collègues de son travail. Nous avons dû malheureusement partir tôt pour aller récupérer notre auto à Lachine, au travail de Patrick. Par contre, c'était un mal pour un très grand bien, car nous nous sommes permis une balade des plus romantiques sur les bords du canal Lachine en plus que ce soit en pleine soirée. 

Deux filles, un vendredi et une Vespa

Mon amie Mab était en congé aujourd'hui. Je suis passée la prendre chez elle ce matin et nous sommes allées au Cora pour y savourer un déjeuner parfait. Une fois l'estomac bien rempli, nous remontons sur la Vespa et repartons pour une petite séance de magasinage. Une Place Versailles et quelques trentaines de dollars bien investis en quelques vêtements et bijoux plus tard, nous sommes de retour à P.A.T. afin que mon amie puisse y larguer quelques paquets. Ensuite, je parle à Mab de l'existence d'un Tigre Géant à l'Assomption et à seulement 45 minutes en Vespa. Nous décidons d'aller y jeter un coup d'oeil. Ça tombe bien, j'avais justement quelques achats de prévu pour la Fête des pères qui a lieu ce week-end. Finalement, je trouve tout ce dont j'ai besoin. Nous avons finalement, et sans aucune hésitation, adopté l'endroit et nous prévoyons y retourner bientôt. De plus, nous connaissons le chemin pour s'y rendre facilement. 

Je raccompagne Mab chez elle et enfin, je suis de retour à la maison vers 18h45. Enfin! La journée a été plus que plaisante, mais je ne suis pas du tout fâchée d'être chez moi et en plus, l'idée de passer une journée seule avec Patrick me rend heureuse. Nous avons soupé et sommes repartis (toujours en Vespa) vers le centre-ville pour y voir une exposition de Munny. (Je vous reviens plus tard avec des photos de l'expo). Ensuite, nous avons marché quelques temps et découvrir certains aspects de la ville auxquels les gens ne s'attardent jamais, ou presque jamais, et j'ai parlé de l'art urbain. (Je vous reviens bientôt avec les photos aussi). 

Voilà qui clôt très bien un vendredi soir et par le fait même, un trois jours bien chargé, à mon grand plaisir. Cela me fait le plus grand bien! Vivement d'autres balades et sorties de la sortes. Tant que je sorte et que je rencontre des gens, je serai la plus heureuse.